l’ecolier
La salle a une odeur de craie
Le vieux tableau noir l’effraie
Au mur, les grandes cartes l’observent
Assis au dernier rang, l’enfant rêve
Un doux parfum de liberté l’habite
Dans le vieux poêle, le bois crépite
Comme une musique monotone
La voix du maître bourdonne
L’élève n’écoute pas, il est ailleurs
La vieille pendule égraine les heures
Le temps lui aussi semble s’ennuyer
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